RDC –Exetat 2021 : Le débat fait rage et c’est la langue qu’on assassine !
4 h du mat’ : il m’est venu une fulgurance ! Ô rapidité de la foudre, ça sent le soufre. L’examen d’état (Etat), on en parle ?
J’étais encore allongé sur mon matelas guère épais – n’est pas Tolstoï qui veut – lorsqu’elle est arrivée. La raison ? Le mot guerre, un article et un sujet d’une journaliste congolaise connue de la place. J’y ai donc ajouté du verbe et quelques compléments.
Remonter les bretelles aux uns, se sentir professionnelle et massacrer les règles les plus élémentaires m’horripile et face à cela, je m’emporte et elles claquent. (…pile et face, …porte et elles claquent). Je recommence ? You understand ?… by me. Ok, je cesse. Je précise que cela m’arrive aussi, une histoire de co(q)uilles, na !
Je sais, je peux parfois être langue de vipère, ce qui me vaut parfois un lancer de « molières » au visage. À cette chaussure qu’on essaie d’avoir bonne au pied, sachez cependant que je préfère sa langue ou celle de Voltaire. Je vous laisse le choix.
Oui, à défaut d’interrupteur pour le cerveau, il est de bon ton (mayo aussi) de prendre le temps d’écrire, se relire, de chercher un correcteur aussi. Et Félicie, si vous le souhaitez. Là est un autre débat.
PS : Vérifier, c’est aussi ne pas tout croire. À ce sujet, quand Robinson Crusoé, que croyez-vous qu’il fit ? Il l’épousa, pardi.
Bref, quittons la sorcellerie.