Un papa, un « PERE spicace »
Avis aux âmes chagrines, je me suis permis quelques libertés orthographiques pour une meilleure compréhension.
Non, mon PAPA à moi n’est pas un gangster, n’en déplaise à la chanson. C’est un PAPA rapluie qui reste encore et toujours un abri pour ma petite famille.
Un papa, ça ne comprend pas toujours tout mais ce n’est pas faute d’essayer : il cherche, il fouille, il se renseigne… Il a tout du PAPA…razzi. Ça fait cliché, me direz-vous.
Un papa, si l’on veut rester neutre, c’est un peu un couteau suisse aux multiples fonctionnalités. Il m’en vient quelques-unes à l’esprit, mais je suis PÈRE suadé que vous en connaissez une kyrielle aussi.
Il est dur et tendre à la fois ; il PÈRE dure, PÈRE sévère tout en étant PERE méable, pourrions-nous ajouter. Quand il vous gronde, sachez que c’est une PÈRE sonne tout comme vous. De temps à autre, il trouve une idée géniale, le voilà PÈRE spicace. Ses propos sont souvent PÈRE tinents, mais nous ne le comprenons que très tard.
Parfois PÈRE du, il en est PÈRE turbé mais si vous lui tendez une perche, il aura alors de nouvelles PÈRE spectives devant lui.
Un papa, c’est aussi -et souvent- un mâle adroit, même s’il a deux mains gauches.
Certains sont des amateurs de miel, ne pensez cependant pas qu’il se considère comme une PÈRE ruche, ce serait abusé. Il hoquète aussi ? Non, ne lui dites pas qu’il a des allures de PÈRE hoquet, il pourrait alors être PÈRE plexe.
Oui, en cette fête, tout est PÈRE mis.
Papa, merci d’être encore là. C’est un privilège que d’autres n’ont pas.