Pâques est la fête des cloches
« Pâques est la fête des cloches. C’est le jour où, après un long silence, elles recommencent à frapper l’air de leurs chants harmonieux.
Nous autres, Parisiens, dans le fracas de la grande ville, nous ne nous apercevons guère que les cloches se sont tues. A Paris, même au voisinage des églises, c’est à peine si l’on entend les plus gros bourdons (…) » In le petit journal illustré, 12 avril 1914
Bon ben à Paris aujourd’hui, c’est le même topo pour d’autres raisons… Soit.
Fête de Pâques mais vacances de printemps… OK mais bon, force est de constater qu’il faudra un jour, si l’on en croit la météo, changer une nouvelle fois de dénomination parce que d’après ce qu’on me dit (« on m’a dit que… »), le printemps ressemble davantage à l’hiver. Fait divers me direz-vous. Je vous l’accorde mais les violons ne jouent pas la même musique depuis ce changement de nom… Un vrai chemin de croix que Saint-Nicolas poursuit sans elle d’ailleurs (sic). Pas très catho tout cela.
Pâques, cloches, œufs, lapins & cie
Les cloches sonnent – certaines raisonnent même -parfois dans le vide, ce qui est aussi mon cas, histoire de saborder tout individu qui me traiterait de la sorte. Mais elles sont aussi de sortie pour le plus grand plaisir des enfants – oui bon la dérive consommatrice, je sais -, les œufs sont « chocolat », les lapins sortent de leurs chapeaux, c’est magique, non. Mais qui dit œufs dit poule et parfois même « poulet » et ce ne sont pas les gilets jaunes qui me contrediront.
La sortie des cloches est souvent aussi synonyme d’élections m’assure-t-on. Là j’avoue ne pas comprendre – ouais, ça va faux-c.. – …
Bon ben à la « revoyure »… à Pâques ou à la Trinité et bises au chat