De Barabara en Njia
Il est dit du barabara qu’il est à la fois droit et tortueux, qu’il est une artère où coule la vie, une œuvre des mains de l’homme dans une nature bien ingrate. Tracer sa route n’est pas des plus aisés…
Cette route peut aussi prendre l’allure pédestre du Njia, œuvre plus proche de la course d’une fourmi que du vol d’un oiseau. Pas toujours plus courte ni plus facile, elle est pourtant plus vivante…
Quel que soit le chemin choisi, il dépend de tes convictions, de ton envie d’aller de l’avant. La hantise avec sa noria de phantasmes, la palette de délires et l’écheveau de tourments seront, quant à eux, toujours bien présents.