Ouidah, le sel, Djègbadji mis à l’honneur. L’article n’est pas de moi mais l’idée est tellement intéressante et pas uniquement gustativement parlant, que je ne pouvais que le partager avec vous.Pour les informations complémentaires, je vous invite à parcourir la page FB des produits.
Le sel de cuisine qui donne goût aux repas, provient du sable fin du Lac Toho à Ouidah. Nous sommes à Djegbadji. Un arrondissement de la Cité historique de Ouidah. A Djegbadji, comme l’indique son nom – “sur le banc de sel” -, on prépare le sel.
Le sel de Djegbadji est un des sels les plus noble au monde parce qu’il est recueilli à la surface des marais salants et il est riche en magnésium ainsi qu’en oligo-éléments. Son goût est réputé beaucoup plus fin et délicat que le sel de mer. Il possède un léger et subtil parfum de palétuvier.
Produit de la main des femmes paludières grâce à un savoir-faire ancestrale, de la goutte d’eau et du grain de sable, elles arrivent à extraire le grain de sel qui sublime nos repas.
Le sel aromatisé aux épices fabriqué à partir du sel de Djegbadji, c’est le mariage de nos origines (Ouidah) et des épices du monde entier, la cannelle d’Indonésie, le romarin du bassin méditerranéen, la feuille de laurier du Burkina-Faso et plus encore.

Catégories :Benin
A reblogué ceci sur Les béninoiseries de Faet a ajouté:
A lire sur Vie au Bénin, mon blog parlant essentiellement de ma vie dans mon pays d’adoption
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